Sans titre [Plusieurs textes, qui en ferons un seul :) ]

Bonjour :)

Alors voilà deux parties d'un roman que je voudrais écrire (Je sais j'ai de l'espoir avec une écriture aussi me*d*que) La première partie devrais être le commencement de l'histoire, et la deuxième une partie dans le milieu de l'histoire.
Je sais, je ne suis pas très logique, j'écris une histoire, mais je ne l'écris pas dans le bon ordre.
Edit: Et euh oui, j'ai oublier de dire, je déteste donner des prénom à mes personnage, alors pour l'instant ils n'en n'ont pas, je chercher les noms parfait, si vous avez une idée vous pouvez m'aider (:

Voici la première,

Les vagues qui giflait les rochers avec force, laissait apparaître une mousse blanche et épaisse, l’écume qui volait jusqu’à moi, paraissait avoir arrêté le temps, et moi, je participais à sa victoire, en la contemplant longuement. La tempête de vent était si forte que je recevais les gouttes de la mer sur mes cils glacé mais je n'avais pas froid, munie de ma parka bleue et des petits
gants blancs en laine que mamie m’avais confectionné l’hiver dernier. Le vent dansait autour de mes oreilles comme pour me souffler un secret, un message, il se glissait entre mes cheveux en bataille, tournais autour de mon corps gringalet, puis mourrait sur le sable blanc de la plage. J’aimais cette sensation de liberté et de solitude, cette sensation qui me donna l'impression qu'à ce moment même il n'y avait plus que moi sur la Terre et que jamais, jamais personne ne pourrait venir me déranger, que le vent était mon amis, et qu’il était venue me présenter sa meilleure amie la mer et que celle-ci m’accueillait à bras ouverts. Les impressions trompent et blessent, je n’étais pas seule.
- Eh ! Petite ! Tu es bien la fille de machin-truc-bidule ? S’il te plaît, ne t’approche pas trop là bas, la tempête et trop forte, et je ne voudrais pas que, part ma faute, ta mère découvre sa pauvre fille tombée dans l’écume et… morte.
Déçue, toute cette sensation de liberté s'estompa en quelques secondes. Lentement, je descendis du grand rocher come me l’avait gentiment indiqué ce marin, un vieil amis de ma mère.






Et dont la deuxième, un peut bizarre je sais...

Je m’entrepris donc à descendre le long de l’allée gelée en m’appliquant vaillamment à ne pas m’étaler de tout mon être comme je l’avais fais quelques jours auparavant à la patinoire municipale. La rue était déserte, aucune voiture ne sillonnait l’allée qui pourtant grouillait de toute sorte d’engins aux couts exorbitants en période touristique, c’était presque inquiétant, très angoissant. Tout en continuant à esquiver les imposantes plaques de glace qui recouvraient le trottoir, je perçu un bruit de moteur en provenance du parking sous- terrain qui se trouvait à ma droite. Il ne fallut que quelque seconde pour qu’une voiture verte kaki jaillisse derrière la barrière rouge et blanche, je n’ai pas tout de suite comprit qui était la conductrice, bien que je pus déduire que se fut une femme, je ne pus pas l’identifier immédiatement, jusqu'au moment où l’automobiliste baissa la vitre teintée. Perplexe, je découvris que cette femme n’était autre que la mère de Gabriel. Et elle n’avait pas vraiment l’aire ravie et elle m’apostropha à coups secs.
- Bidule, c’est bien ça ? me déclara-t-elle.
-Euh…oui Répondis-je gênée.
- Je voudrais savoir si tu n’aurais pas aperçus mon fils, Gabriel bien entendu. Je savais pertinemment que Madame Machin avait quatre fils.
J’hésitai un instant, qu’allais-je pouvoir lui raconter.
- Euh, madame, il… ne va pas
tarder, il… il à dit qu’il arriverait bientôt.
Je ne pus m’empêcher de partir lâchement en courant vers l’établissement, expliquant tout bonnement à madame Machin, que j’allais être en retard, ce qui n’était pas faux, puisque je l’étais, d’une demi-heure à présent. Mais au lieu de me rendre en cour comme de bien entendus, je courus à la première cabine téléphonique, entra à l’intérieure, fourra ma vieille carte blanche et jaune dans le creux approprié, et composa le numéro de Gabriel à toute vitesse. Il me fit attendre une dizaine de secondes avant de décrocher.
- Biduuule ? Tu n’es pas déjà en cours ?
En quelques secondes je réussis à lui expliquer la situation et il décida rapidement de redescendre au village pour rejoindre sa mère au parking. Il me fallut peut de temps pour raccrocher le téléphone bleu et sortir de la cabine avec un empressement mêlé d’un vague refus d’arriver a mon lycée alors que mes meilleurs
amis étaient ensemble, et s’amusaient bien sûre sans se préoccuper de moi. En
une moins d’une minute j’approchai enfin le grand établissement blanc, qui semblait
être une vieille clinique perdue au milieu d’une forêt. A ma grande surprise, la porte de
devant, qui était toujours fermée pendant les horaires de cours, était grande
ouverte, comme si quelque chose d’imposant allait en ressortir, comme si on
attendait quelqu’un de très important, comme si quelque chose de grave allait
se passer, ou, s’était passé. Mes foulées ralentirent, j’approchais prudemment,
même si je n’avais aucune raison à se moment là d’être anxieuse. Des voix se
firent entendre, des voix d’hommes que je ne percevais pas tout à fait, je pus
juste déduire que eux aussi avait du mal à comprendre la situation, lorsque je
fus assez près pour les entendre parfaitement, ma curiosité m’emporta, je me
cachai derrière un buisson qui se trouvait à
côté de l’entrée. Deux hommes
parlaient, porté par le brouhaha des élèves qui eux paraissaient plus
tranquilles qu’a leurs habitude, l’un des hommes avait une voix rauque et
froide, J’étais presque persuader que cet homme que je n’avais jamais croisé
était une personne monstrueusement grande et imposante.
-Faites sortir les enfants de la
salle, aboya t-il, il n’y à rien à voir ici, et allez chercher les autres
immédiatement.
Je frissonnai. Les autres ? Quels
autres ?
L’autre homme exécuta les ordres
du premier, alors je l’entendis ordonner aux quelque élèves spectateur de je ne
savais quoi, de sortir du hall et de se rendre dans la cour de récréation.
Puis plus aucunes paroles, toute
les personnes présentent dans le hall se turent, je n’entendais simplement que
des bruits de pas, des craquements, des soupirs et quelque toussotement, c’est
alors qu’elle vit sortir l’homme à la grosse voix, tout aussi grand que dans
son imagination, apparemment médecin, il
portait un blouse blanche et verte et du bout de ses mains, il transportait un
brancard, probablement celui duquel il avait parler il y avait que quelques
seconde de ça.

Je suis désolée, j'ai un problème de retour à la ligne, ça donne que mon texte est bizarre, aussi désolée si je fais des fautes d'orthographe :S je n'ai jamais été très douée pour ça.